Voici tout l’enjeu du festival Lettres du monde qui débute vendredi 17 novembre : faire venir des auteurs étrangers et les emmener là où ils ne seraient pas allés seuls en Nouvelle-Aquitaine à la rencontre des lecteurs. Ce que la littérature du monde fait de mieux s’approche de nous. Découverte d’un festival itinérant.
Auteur : Florence
Dans « La femme du deuxième étage », le croate Jurica Pavičić décortique par le menu la vie d’une jeune femme meurtrière dans une Croatie en pleine mutation. Un roman sur les rouages d’une famille méditerranéenne.
Dans « La Vie de Chalet », la réalisatrice Mélanie Gribinski dresse un portrait d’une résidence d’écriture emblématique de la Nouvelle-Aquitaine : le chalet Mauriac. Une jolie occasion de découvrir un outil régional dédié à la création et un lieu exceptionnel.
La romancière Annie Ernaux cosigne avec son fils David un documentaire réalisé à partir de films familiaux tournés entre 1972 et 1981. Une histoire familiale et le récit d’une époque.
Avec « Les corps solides », l’écrivain italo-suisse Joseph Incardona signe une satire de la société de consommation sur fond de drame social. Un roman sur la dignité humaine à l’ironie mordante.
La maison natale de Jean Giraudoux à Bellac (Haut Limousin), investit le numérique pour partager la vie et l’œuvre de l’auteur. Nouvellement nommée La Digitale, elle propose une expérience muséale sensible et technologique qui vaut le détour.
Dans « Une maison à Bogota », le romancier Santiago Gamboa livre un récit sur une maison et la vie de ses deux habitants, et dresse un portrait de la capitale de la Colombie. Un roman superbement écrit à la narration très maîtrisée. À lire absolument !
Dans « Bonne nuit Tôkyô », une galerie de personnages se croisent au coeur de la nuit. Des moments de vie simples et une écriture tout en douceur donnent de la légèreté à ce récit subtil.
Depuis 30 ans, les éditions Chandeigne publient des textes et des auteurs du monde lusophone. Récits de voyage ou historiques, poésie, littérature, le catalogue est éclectique et de haute volée.
Samedi 23 avril, l’association Verbes organise la Journée de la librairie indépendante. Et la place sous le signe des valeurs humanistes, en cette veille d’élection présidentielle.
Le deuxième roman de Dima Abdallah, « Bleu nuit » dresse le portrait bouleversant d’un homme en proie à ses fantômes. Un récit dense et poétique sur la mémoire et l’impossibilité d’oublier.
Adapté du roman éponyme de Nathacha Appanah, le film « Tropique de la violence » est sorti en salle en mars. Une plongée ultra-réaliste au cœur d’un bidonville de Mayotte. Un coup de poing qui manque de force.
Initialement publié sous le titre « La revenue » aux éditions du Seuil, le roman de Donatella Di Pietrantonio sort en format poche. L’occasion de (re)découvrir ce lumineux roman sur la famille qui a rencontré un immense succès public et critique en Italie.
Avec « Le Signal », Sophie Poirier signe un récit poétique sur sa relation à un immeuble emblématique du littoral aquitain. Un récit sobre et élégant sur la beauté et l’amour.
Avec « La vallée des fleurs », la jeune écrivaine Niviaq Korneliussen aborde la douloureuse question du suicide chez les Groenlandais. Dans une langue crue, sans compromis, elle s’empare de ce sujet de société encore tabou.
L’association Maison de la poésie de Bordeaux a lancé une souscription sur Helloasso afin de récolter des fonds. Son but ? Rendre la poésie accessible et joyeuse.
Jeudi 10 mars 2022 à 10 heures les Français sont encouragés à cesser leur activité pour consacrer un quart d’heure à la lecture, où qu’ils soient. 15 minutes d’apaisement et de calme pour le plaisir de lire.
Dans son dernier roman, le premier publié en France, la romancière et essayiste Kate Zambreno dresse un portrait intime d’une auteure contemporaine. Un récit fragmentaire intime et intense, d’une grande curiosité intellectuelle.
Les masterclasses d’écrivains ont fleuri ces dernières années. Offrant une ouverture unique sur l’univers d’un auteur, elles sont souvent retransmises en direct par internet.
Avec « De l’or dans les collines » C. Pam Zhang décrit un Ouest sauvage où deux jeunes filles d’origine chinoise vont faire l’apprentissage du racisme et de l’adversité.